Cours Privés

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COURS PRIVÉS

Belle comme un jour de plui
Fame de mes nuits
Je te subi
Tout les jour je me langui

Pak Dave se dit qu'avec des rimes comme ça, Ha-Neul ne pourra pas résister. Les filles aiment se faire comparer à des trucs jolis. Un jour de pluie c'est pas méga beau, mais ça fini avec un son en i alors elle s'en contentera. Si elle pose la question, il lui dira que lui trouve ça beau et que tous les mecs qu'il connaît trouvent ça beau, un jour de pluie. Au-delà de cette comparaison douteuse, il se dit qu'il ferait mieux de ne pas lui offrir un poème bourré de fautes d'orthographe. Sinon, elle risque de rire de lui et il ne veut pas ça. Surtout pas devant ses potes. Si elle fait ça, il faudrait qu'il regagne sa dignité et pour ça, il faudra qu'il pose des actions qui lui seraient désagréable. Dire à une femme de se la fermer et l'insulter devant ses amis n'est pas une idée qu'il trouve particulièrement alléchante. Il préfère la jouer cool. Ça fait un moment déjà qu'il drague Ha-Neul, mais il le fait seulement pour prouver à ses potes qu'il est pas… Homo, quoi. Il a fait quelque chose de bizarre dans le vestiaire des hommes il y a quelques mois et depuis il fait beaucoup d'efforts pour effacer les doutes que ça a semé. Il était avec ses amis en train de se changer. Il était debout et passait à travers les chansons sur son mp3. Quand il s'est dirigé vers les douches, il a trébuché en emportant l'un de ses potes dans sa chute. Ils se sont retrouvés l'un sur l'autre et comme il ne s'y attendait pas, Pak est resté là à fixer son ami bêtement pendant plusieurs secondes de trop. Celui qui était pris sous lui a fini par lui lancer son poing au visage et l'a traité de… Urgh. Il n'aime pas y repenser. Il n'aime pas non plus repenser à la manière dont il s'est senti quand il s'est retrouvé par-dessus l'autre homme. Il est certain qu'il a remarqué son entre-jambe devenir plus… Merde! Pak se gifle. Le professeur lève les yeux du livre qu'il est en train de lire à voix haute, baisse ses lunettes et le regarde droit dans les yeux. Il lui demande s'il y a un problème. Le jeune homme prétexte avoir vu un moustique ou une bestiole. Il se lève sans demander la permission et sort. Il se dirige vers les toilettes des hommes et s'asperge le visage avec de l'eau froide. Il doit finir son poème et le donner à Ha-Neul. En feignant d'avoir une obsession pour la jeune femme, il reste loin des doutes des autres. Le problème, c'est qu'il ne veut pas faire corriger son texte par ses amis. Ce serait trop gênant. Il se rappelle alors le jeune qu'il a introduit dans son groupe. Il lui fait faire ses devoirs et il semble plutôt doué. Pak sait dans quelle classe il se trouve alors il s'y rend et attend jusqu'à la cloche. Dès qu'il le voit sortir de la classe il l'attrape par le col de son chandail et le tire vers le mur. "Salut, toi! J'ai besoin de ton aide. Tu vas m'aider avec un truc. Tu viens chez moi ce soir, c'est compris?"

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feat: @pak dave ; @chae seungkwan

Tu n'avais réellement pas envie de venir en cours aujourd'hui. Si ce n'était que tu as besoin d'avoir ton diplôme pour faire quelque chose de constructif dans la vie, tu serais resté chez toi. Combien de fois as-tu feint d'être fiévreux pour que ta mère ne t'autorise à rester au lit, simplement parce que tu ne voulais pas te faire remarquer? D'accord, tes camarades de classe ne te terrorisent plus depuis que tu traines avec les nouvelles personnes que tu as rencontré, mais à quel prix? Celui de faire les devoirs de tout le monde, te faire ignorer, te faire traiter de noms et même te faire frapper dans le ventre par deux d'entre eux. Pour être honnête, tu as échangé un won contre un autre. Malgré tout, tu endures cette journée la tête baissée puisque tu gardes ta fausse maladie prochaine pour un exposé oral qui doit se tenir dans quelques jours. Tu sais choisir tes combats.

Lorsque la cloche sonne, tu attends patiemment que tout le monde se lève avant de t'emparer de ton sac à dos et te lever, évitant ainsi toute interaction regrettable avec n'importe qui. Tu n'as pas envie de te faire traiter de baleine aujourd'hui ou même de te faire ridiculiser parce que ta mère tient à couper tes cheveux elle même et les rate royalement chaque fois. Essayant donc de te faire tout petit, tu te faufiles entre les bureaux pour contourner le regard du professeur qui ne t'aime clairement pas vu ses soupirs quand il te voit, pour sortir de ton enfer. Heureusement, c'était ton dernier cours de la journée et tu as hâte de sentir l'air frais en quittant la pièce.

Au lieu de cela, c'est un coup de vent qui t'accueille puisqu'une personne t'empoigne par la collet pour te coller au mur. Premier réflexe? Protéger tes lunettes puisqu'elles coutent cher et que ta mère est pauvre. Ce n'est pas le moment de dépenser outre mesure ou de ne pas être capable de voir le danger devant toi lorsque tu viens dans l'établissement. Tu reconnais aussitôt la personne qui te fait face et tu déglutis fortement, peu rassuré par l'interaction. Oui, c'est lui qui a décidé que tu ferais partie de son petit cercle d'amis, mais aussi qui te fait rédiger tous ses devoirs. Tu savais qu'un jour ou l'autre, il allait te frapper parce qu'il n'était pas satisfait d'une réponse ou juste parce qu'il ne l'aurait pas comprise. Parce que bon... il a quand même redoublé plusieurs fois Pak Dave. "Promis, promis. Tout ce que tu veux. Pitié, pas les lunettes. Ne frappe pas mon visage." Parce que à quoi bon faire semblant que tu as un peu d'estime en ce moment. Ce n'est pas le cas. T'es plutôt une petite baleine terrifiée qui a juste envie d'aller se terrer dans son lit et qui aimerait qu'on l'oublie. Ce n'est pas pour rien que tu ne parles jamais à personne pourtant. Malgré tout, ça te rattraper toujours, les interactions sociales avec les autres étudiants musclés et clairement plus en santé que toi.

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feat: @pak dave ; @chae seungkwan

Pak fréquente des gens peu fréquentables. Ses amis sont du genre à s’acharner sur les élèves plus petits, plus gros, plus timides. C’est malheureux, mais le garçon qu’il a introduit à son groupe correspond à toutes ces catégories. Est-ce qu’il était conscient que ses potes lui feraient du mal? Plus ou moins. Il sait bien qu’il ne s’entoure pas d’anges, mais il n’est pas mauvais lui-même. Il n’a recours à la violence que s’il ne reste que cette option, car il n’aime pas voir les gens souffrir. La première fois qu’il a vu l’un de ses amis enfoncer son poing dans le visage du jeune homme, il est resté figé, le teint blême. Il ne leur avait rien fait. Pak se comptait chanceux d’être grand et musclé, ça lui évitait des ennuis. Il se sentait cependant responsable du malheur de son camarade. “Hein?! Je vais pas te taper, bro. T’es malade.” Il parle comme si l’idée qu’il puisse le frapper est saugrenue et injustifiée, mais il se doute que c’est l’habitude qui fait parler le garçon. Il attrape son poignet fermement et le traîne derrière lui. Au fond, c’est correct s’il pense qu’il va lui faire du mal. Ça alimente son image de mec viril et intimidant. Le lycée est un monde cruel qui ne pardonne pas. Pak est un mec gentil et les mecs gentils, ça ne fait pas de vieux os, ça a plus tendance à se retrouver avec la tête dans les toilettes. Il est au lycée depuis assez longtemps pour savoir comment ça fonctionne, donc il met toutes les chances de son côté et il reste dans les bonnes grâces de ceux qui font la loi. Il fait à semblant d’être l’un des leurs en feignant d’approuver tout ce qu’ils disent. Il n’est pas une mauviette pour autant, non. Il fume dans les toilettes, fait des graffitis sur les murs de l’école et donne la vie dure aux enseignants, il est comme ça. Il ne se gêne pas pour embêter les filles ni pour faire des blagues de mauvais goût à ceux qui se prennent pour mieux que ce qu’ils sont. Les professeurs l’ont tous sur leur liste noire. Par contre, il est très rare qu’il se batte. Ça lui est arrivé quelques fois. Un jour, il avait été contraint d’en venir aux poings à une fête. Une fille avait bu plus que de raison et un élève l’avait emmené dans une chambre, pensant qu’on les laisserait tranquilles. Pak préfère rester loin des ennuis, mais cette fois, ses principes l’avaient poussé à agir. Il était entré dans la chambre et avait tenté d’utiliser l’humour pour désamorcer la situation. L’autre homme lui avait dit de dégager sans ménagement et avait commencé à enlever les vêtements de la jeune femme. Pak Dave avait vu rouge. Il avait pris l’autre homme par les épaules et l’avait jeté hors de la chambre. Puis il l’avait frappé jusqu’à ce que ses amis finissent par l’immobiliser. Aucune plainte n’avait été faite à la police, sans doute parce que le jeune homme était conscient des représailles qu’il risquait de subir s’il expliquait la situation. Lorsqu’il était retourné chez lui après ces événements, Pak n’avait pas pu dormir avant les petites heures du matin et ne s’était pas présenté à l’école de la semaine.

Il tire son camarade jusqu’en dehors de l’école, au limites du terrain et lui explique qu’il doit le suivre. “Bon, on va chez moi. Tu ferais mieux d’en parler à personne.”

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feat: @pak dave ; @chae seungkwan

Tu ne sais trop ce que tu as fait dans la vie pour qu'elle soit aussi merdique depuis quelques temps. Depuis la mort de ton père, tu essais tant bien que mal de nager parmi les autres, mais tu te rends compte que lorsqu'on peut te retirer ton gilet de sauvetage, on le fait. On t'a immédiatement catégorisé de raté et ri de ton physique. Tu sais bien que tu es obèse. Tu ne le caches pas. Après tout, depuis l'accident, tu manges comme si c'était un exutoire. Malgré tout, tu ne croyais pas que ce serait aussi sujet à moqueries. Tu pensais qu'on ne s'intéresserait juste pas à toi et qu'on te laisserait vivre dans un coin. Tu n'en demandais pas plus. Ce n'est pourtant pas ce qui s'est produit. Allez savoir pourquoi, mais tu es devenu le petit gros à abattre dans les couloirs. Et ce n'est pas les professeurs qui font quoi que ce soit pour arrêter le tout, ça c'est sûr. Malgré tout, tu sais que si ce n'était pas du fait qu'on te laisse trainer avec la bande de 'tout croches', tu l'aurais bien pire. "Ah non?" Tu es surpris, et cela se voit dans ton regard encore un peu apeuré. Tu ne sais pas si tu devrais ou non lui faire confiance. D'un côté, tu as toujours eu si peur de lui que tu lui as toujours fait ses devoirs avant de devoir recevoir des coups de sa part. D'un autre, il ne t'a jamais frappé comparé à d'autres présents dans le dit groupe. Mais en conclusion, il est grand et musclé et il fait peur. Toi t'es loin de faire le poids s'il décide que tu lui tapes sur les nerfs et te bouscule. Enfin tout dépend du concours relié au poids...

Tu commences à peine à te demander si tu l'as mal juger, mais il en profite pour t'empoigner le poignet et te faire suivre comme un petit chien. D'accord, compris. Pas frapper tant que tu suis. Ça semble être la règle d'or. Le chemin te mène jusqu'à l'extérieur ou plutôt, c'est Pak Dave qui le fait. Tu te demandes s'il va juste te poser sur un banc et te dire de rédiger son devoir, mais il commence alors à parler d'aller chez lui et de ne pas en parler. Tu déglutis fortement, te faisant deux scénarios probables. Le premier? Il va t'égorger, te découper en morceaux et t'enterrer dans son jardin. Le second? Il va te violer, puis ensuite t'égorger et te découper en morceaux dans son jardin. "Tu.... tu tu .... tu voulais que je fasse un de tes devoirs?" Tu aimerais au moins avoir une petite idée de son excuse qu'il utilisera avant de t'égorger et... bon on a compris. "Parce que je peux le faire ici sans problème. J'ai mes crayons et du papier et... on est pas obligés d'aller dans un endroit complètement éloigné de tout le monde!" Tu paniques un peu, même si tu te dis que s'il te tuait ici devant témoins, on l'encouragerait probablement plus qu'on ne l'en empêcherait.

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feat: @pak dave ; @chae seungkwan

Comment il s'appelle déjà… Pak fait faire tous ses devoirs à ce garçon, mais il a de la difficulté à se souvenir de son nom. C'est embarrassant. Il ne le considère pas comme son ami. Ils ne passent pas du temps ensemble hors de l'école et Pak a tendance à oublier sa présence lorsqu'ils sont en groupe. Est-ce qu'il a des amis? Il ne le voit jamais avec d'autres personnes. Il est vrai qu'il ne lui porte pas attention, il est bien trop occupé à passer du temps avec Hamin et les autres. Il aimerait bien être seul avec Hamin un peu… Le problème c'est qu'il y a toujours quelqu'un avec eux. Soit un de leurs amis, soit ce gars qui fait ses devoirs, soit Ha-Neul, soit son frère. Il leur arrive de traîner ensemble après les cours, mais ce n'est pas de cette manière là qu'il aimerait passer du temps avec lui. Il aimerait bien être seul avec lui dans sa chambre, couchés dans son lit… Il aimerait bien qu'il le regarde dans les yeux, qu'il lui prenne la main. Aujourd'hui, il devra se contenter d'un autre mec dans sa chambre. Ça le réjouit beaucoup moins, mais il a besoin de lui. Le fait qu'il ait eu l'air surpris du fait qu'il ne veuille pas le frapper l'insulte un peu. Il a vraiment l'air d'un homme violent? Il trouve qu'au contraire, il est plutôt approchable. Pak ne se voit clairement pas de l'extérieur. La manière dont il parle peut être interprétée de plusieurs façons et il agit de manière un peu intimidante. Dans son esprit, se faire entraîner par lui en se faisant tirer par le poignet jusque derrière l'école, ça n'a rien d'anormal. Il lui est étrange de voir que l'autre jeune homme semble anxieux. Selon lui, ce doit être lié à quelque chose qui n'a aucune relation avec la situation présente. Il ne comprend visiblement pas la situation, parce qu'il lui parle de ses devoirs. Comment lui expliquer qu'il veut seulement qu'il corrige le texte pourri qu'il a écrit pour Ha-Neul? C'est trop gênant et n'importe qui pourrait les écouter alors il fait ce qu'une personne pas du tout intimidante ferait: il plaque l'autre élève contre le mur et lui parle comme une personne joviale le ferait. "Tu piges rien? Je t'ai dit que tu venais chez moi, alors tu me suis." Ce sera plus simple s'il lui montre son texte et lui explique ce qu'il attend de lui chez lui. Il attrape donc à nouveau son poignet et l'entraîne de force vers la piaule de ses darons. Heureusement, ses parents habitent tout près. Il espère que ses frères et sœurs les laisseront tranquilles. Il pousse son otage à l'intérieur de la maison en regardant autour. Sa mère, entendant la porte se fermer, fait irruption dans l'entrée. "Oh? Dave, tu ramènes un ami?" Il est rare qu'il passe du temps avec des jeunes qui aient l'air présentables. C'est la première fois qu'elle voit celui-ci. Il souffre visiblement d'embonpoint, mais il semble plus respectable que ses fréquentations habituelles. "La ferme maman, laisse-nous tranquille." Elle hausse les épaules et retourne dans la cuisine en se demandant où elle a failli dans son éducation. Pak pousse presque Seungkwan en bas des marches puis dans sa chambre. Il barre la porte puis se retourne. "Assis-toi sur le lit. J'ai pas de chaise." Les murs sont couverts de posters de rappeurs. La couverture sur son lit est ornée d'une énorme photo de l'abeille dans le film Bee Movie et la table de nuit est pleine de dessins étranges faits au crayon Sharpie. Un bong qui n'a pas été lavé depuis longtemps gît sur ce même meuble, entouré de cocottes de marijuana. Il commence à fouiller dans les tiroirs de son armoire couverte de collants de feuilles de weed.

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feat: @pak dave ; @chae seungkwan

Tu essais de t'en sortir tant bien que mal. Tu sais que tu es dépressif depuis un moment déjà, mais tu n'as pas encore envie de finir comme tu te l'imagines en ce moment. Soit en petits morceaux coupés à la scie, enterré dans un jardin rempli de marijuana. Tu manges sans arrêt car c'est le seul bonheur que tu retrouves dans ta vie en ce moment, pas parce que tu veux mourir d'une manière atroce. Tu préfères le diabète, merci bien. Tu sors des mots de détresse, essayant de t'en sortir, de rester sur place. Tu sais que dès qu'il se mettra en route vers chez lui, tu es mort. Malgré tes efforts, il te plaque contre le mur et tu lâches un petit son de détresse. Comme tu t'y attendais, personne ne fait attention à toi non plus. Les autres élèves passent à côté de vous en ignorant complètement la situation. Ne pas avoir de véritables amis, ça a des désavantages, disons le clairement. Personne ne se soucie de toi. "Je suis désolé. Je te suis, je te suis. Promis je te suis." Si tu pouvais répéter que tu le suis à mille autres reprises, tu le ferais, mais il s'empare de ton poignet et s'assure lui même de ta docilité. Adieu monde cruel. Tu ne verras plus jamais ce banc à ta droite. Ni cet arbre que tu croises tous les matins. Ni cette poubelle qui se trouve.. ah bin vous êtes déjà arrivés chez Pak Dave. Il n'habite vraiment pas loin de l'école, pas étonnant que ce soit sa deuxième maison.

Une fois la porte d'entrée franchie, vous êtes accueillis par la mère du plus vieux et tu lui fais des yeux de pitié, qu'elle ne semble pas du tout comprendre. En fait, tu troques rapidement les yeux de pitié pour des yeux d'aberration quand tu entends ton tortionnaire répondre à sa mère. Jamais tu n'oserais parler ainsi à ta mère. Elle est celle qui t'a mise au monde après tout, qui te nourrit aussi. Et ça, c'est important. Tu n'as même pas le temps de comprendre tout ce qui se passe que tu te fais malmener dans les escaliers. Te voilà maintenant dans une pièce digne des films d'horreur. La chambre de Pak Dave. La première chose que tu remarques, c'est le drap avec une grosse abeille en évidence sur ce dernier. Drap sur lequel tu t'assoies avec beaucoup d'appréhension. Il n'a pas de chaise... dans sa chambre ou dans la maison entière? Car tu le croirais. Il y a bien des espèces de trucs à fumer dont tu ne sais pas le nom sur le bureau de sa chambre ainsi que des canettes au contenu sûrement prohibé par ta mère. Tu as l'impression d'être dans une chambre du diable. Tu joues un peu avec le drap qui se trouve sous toi, ne sachant trop quoi faire de tes dix doigts. "Alors hummmm.... c'est le devoir de mathématiques que tu veux que je fasse?" C'est toujours les mathématiques qu'on te demande. Tu attends surtout le moment où il va sortir cette fameuse scie de son pantalon. "Peu importe lequel c'est, je vais le faire han. Je le jure." Tu pourrais pleurer si tu n'étais pas si apeuré de finir en cadavre.

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feat: @pak dave ; @chae seungkwan

Pak ne réalise pas qu'il vient de procéder à l'enlèvement de son camarade. Pas que ça y change grand chose. Même s'il en avait conscience, il l'aurait fait quand même. Il a tendance à ne pas se soucier des conséquences de ses actes. Il s'est souvent retrouvé en retenue ou s'est fait suspendre temporairement. Il lui est aussi arrivé plusieurs fois de passer une nuit au commissariat. Conduite en état d'ébriété, possession de drogues, vandalisme, vol. Son casier judiciaire n'est plus vierge depuis longtemps. Il a déjà fait exploser des pétards sous des voitures de police pour faire retentir leur alarme. Il lui est arrivé de jeter des œufs sur la porte de la maison de ses enseignants ou de partir des feux dans les toilettes du lycée. Il est reconnu pour être un délinquant. Ça et le fait qu'il soit au début de sa vingtaine, ça peut être intimidant pour quelqu'un qui se fait enfermer dans sa chambre. Au moins, il n'a pas tendance à être violent de manière gratuite, mais ça, Chae le ne sait probablement pas.
Pak est exaspéré. Où peut bien se trouver ce fichu poème pourri? Il commence à étaler le contenu du tiroir sur le sol. Il entend l'étudiant lui poser des questions à propos de devoirs. "C'est pas des devoirs aujourd'hui mon p'tit mec. C'est quelque chose de… Différent." Il dépose des pots et des sacs vides ayant précédemment contenu des substances illicites, une passe à cheveux avec des cornes de diable, un vieux yoyo avec une spirale colorée dessus, un magazine de jeux vidéos, un vieux condom périmé (toujours dans son emballage, on se calme), un gribouilli représentant Captain America tout maigre, une vieille pipe à marijuana aux couleurs psychédéliques, un album de Nirvana, un couteau papillon… Il observe ce dernier, fait des acrobaties à l'aide de sa main, rit puis le dépose sur l'armoire. Le poème ne s'y trouve pas. Il remet le tout dans l'armoire excluant le couteau papillon. Il a de la chance! Il croyait l'avoir perdu. Il se dirige vers la table de nuit à côté de son lit, juste à côté de où est assis son otage. Il tasse son genou de la main de manière brusque et ouvre la petite porte du meuble. Voilà, il a trouvé ce qu'il cherchait. Il prend le bout de papier froissé et se lève. Il prend un air très sérieux, solennel même et pose sa main sur l'épaule du garçon. "Ce qui va se passer aujourd'hui va rester entre toi et moi, d'accord? Tu ferais mieux de garder ta gueule fermée, sinon, on va avoir un problème." Il se redresse et s'éclaircit la gorge. Il lui reste à expliquer le travail à faire. Il se demande à quel point il doit en dire et quelles sont les informations pertinentes. Lui mentionner que le texte est destiné à Ha-Neul est-il nécessaire? Ça lui donnerait une occasion de le convaincre lui aussi qu'il a le béguin pour la jeune femme. Le texte est cependant ridicule et il le sait. Ce serait embarrassant de ne pas révéler qu'il écrit cela par dépit. Il a déjà écrit des choses en pensant à Hamin. La qualité est nettement supérieure. Son orthographe est tout aussi merdique, mais ces textes ne sortiront jamais de sa chambre, alors peu importe. Il regarde le papier entre ses mains. Quatre vers ridicules et grotesques. Il secoue la tête et déchire cette immondice. "Attends. C'est pas le bon machin." Pak étire son bras pour attraper quelque chose par-dessus son armoire à vêtement. Un texte qu'il a écrit à Hamin. C'est… Une sorte de déclaration. Il ne le nomme pas et si on ne sait pas à qui c'est destiné, on pourrait déduire qu'il écrit à une femme. L'homme reste immobile un instant. Son cœur saigne à l'idée d'offrir ces mots qu'il a affectueusement écrit à quelqu'un d'autre, mais il en est ainsi.

-Je me prèpare tout les matin pour venir a l'école dans le seule bu de te voir. Jé frois et la seul chose qui me réchauffe est ton regar. Tu m'adresse la parole et mon keur s'emballe. Entendre ta voie suffis a me donnez linpression que la tère se dérobe sou mes pié. Quand nous some zen court d'éducation fizik, je n'ai d'zieus que pour toi. Tout les jour, je fais toute sortes de coneries et pour sa, tout le monde me remarke, mè au fon, s'est ton regar que je cherche. Réalise-tu que tu m'est indispansable? Mon premié et derniér amour.-

Il tend le texte au jeune homme. "Tu… Tu peux m'corriger ça please?…"

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feat: @pak dave ; @chae seungkwan

Tu te demandes bien ce que le plus vieux a en réserve pour toi. Malheureusement, tu te doutes que ce ne soit pas du tout bon pour ta santé mentale… ou même physique. Tu appréhendes presque de voir un énorme couteau sortir de son tiroir, regardant ce dernier avec peur. Ce qu'il en sort est loin d'être mieux et malgré le fait que tu sois assis, tu sent ta tête tourner et ta vision se troubler. Malheureusement pour toi, tu perçois quand même très bien le condom et le couteau papillon. Ça y est, tu connais maintenant le scénario. Il va donc te violer, puis te tuer. Tu le vois sur le coin de l'œil tournoyer l'arme dans sa main et tu as soudainement très envie de pleurer. Tu n'as même pas dit à ta mère que tu l'aimais avant de partir ce matin. Tu n'en auras pas la chance. Égoïstement, tu as toujours voulu mourir de manière plus douce. Avec le diabète par exemple. Ou même une crise de cœur. Une mort atroce et être assassiné, ça ne faisait pas partie de tes plans. "Différent? Différent comment?" Tu poses des questions idiotes alors que tu sais pourtant être beaucoup plus intelligent que ça. Tu as juste envie qu'il démente tes peurs, question d'être un peu moins sur le qui vive.

Une fois assis à tes côtés, tu fixes toujours le couteau sur le meuble, voyant qu'il a rangé le condom de la mort. Si ça apaise tes démons intérieurs? Pas du tout. Maintenant tu te dis qu'il va te violer et te tuer, mais sans se protéger. Tu arrêtes même de respirer lorsqu'il se penche pour accéder à la table de chevet et y prendre un papier, ton cerveau continue son scénario catastrophique. Maintenant tu ajoutes le fait qu'il va te faire écrire une note de suicide pour dissimuler son meurtre. Tu es dépressif et tu le sais, certes, mais pas au point d'agir de la sorte. Ça passera toute fois inaperçu. Sûr que ta mère va pleurer. Elle va croire que tu avais la mort de ton père sur la conscience et elle va s'en vouloir. Les autres... et bien ils ne remarqueront probablement même pas ta disparition. Tu vas mourir aussi solitaire que tu vis. Il se lève et te parle et ton sang se glace. Tu as terriblement envie de vomir tellement ton stress est élevé.

"S'il te plait, ne me tue pas." Tu es conscient que sa main est nichée sur ton épaule et ça te rend malade. Tu aurais préféré qu'il te tue rapidement, sans que tu en ais connaissance. Lorsque tu te rends compte qu'il y a déjà un truc écrit sur la feuille, tu arques un sourcil, ne sachant pas trop pourquoi tout ton scénario pourtant extrêmement plausible vient de partir en fumée. Pak Dave semble.... perturbé de te partager ces quelques mots? Tu n'as toute fois pas le temps de les voir avant qu'il ne change de feuille, allant en chercher une nouvelle en te dictant que ce n'est pas la bonne. Il te demande de le corriger et tu inspires profondément en voyant bien que tu as paniqué pour rien depuis la dernière demi heure. "Promis, je ne dirai rien." Tu trouves maintenant important de promettre ton silence lorsque tu comprends que tu ne vas pas mourir ce soir. Question de ne pas mourir plus tard parce qu'il pense que tu vas en parler en prenant ton silence pour une non acceptation des termes.

Tu poses tes yeux sur la feuille et il te faut quelques minutes pour déchiffrer convenablement le texte que tu as sous les yeux. Ils finissent par s'écarquiller quand tu comprends le thème et mine de rien, tu es quand même heureux de ne pas être le récipient de cet amour un peu étrange. "C'est toi qui a écrit ça?" Tu te rends compte très rapidement que tes mots peuvent être mal interprétés, et c'est pourquoi tu rectifies immédiatement. Décidemment, tu dois vraiment avoir envie de crever finalement. "Je veux dire que c'est ... très beau?" Il y a deux options. Soit tu vas te faire trucider, soit .... tu vas te faire trucider. Tu viens de lui faire un compliment sentimental. Quelque chose te dit que son côté matcho fini n'appréciera pas vraiment, même si tes intentions étaient louables pour une fois.

ici depuis - : 29/07/2023

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feat: @pak dave ; @chae seungkwan

Le jeune homme se détend imperceptiblement. Le fait que son "invité" ait juré de ne pas parler de ce qui se déroule à l'instant le rassure. Il entretient une peur maladive par rapport à l'idée que sa réputation puisse être entachée. Il apparaît aux autres comme un type qui n'accorde aucune importance à ce que les autres pensent avec son style vestimentaire, son tatouage fraîchement fait et son attitude décontractée, mais en réalité, il tremble à l'intérieur. Il a si peur de ne pas être apprécié, qu'il joue le rôle de celui qui n'en a rien à foutre.
Il regarde son cadet parcourir son texte des yeux. Pak est nerveux. L'autre lui demande si c'est lui qui a écrit ça et l'homme n'est pas certain de savoir si le ton est étonné ou sarcastique. Il fronce les sourcils et plisse les yeux, cherchant à comprendre. Son camarade se reprend aussitôt en faisant un commentaire positif sur ses écrits. "Aaah… Je…" Pak n'a pas l'habitude des compliments. Il rougit violemment et regarde autour de lui. Il doit frapper quelque chose, vite. "D-Donne-moi un instant…" Il sort de sa chambre et regarde le mur à sa gauche. Ça fera. Il prend son élan et transperce la feuille de gypse avec son poing. C'est bon, l'émotion est passée. "DAVE. T'AS PAS ENCORE FRAPPÉ DANS L'MUR?!" C'est son père qui crie d'en haut. Ce vieux con ne comprend jamais rien de ce que Pak fait ou dit. Ce dernier s'exclame en direction des escaliers. "OUAIS. FAIS PAS CHIER." Il revient dans la chambre et barre la porte à nouveau. Ses jointures saignent un peu, il attrape une guenille et une bouteille d'alcool qui se trouvent à côté d'un bong qu'il planifiait nettoyer. Il imbibe le carré de tissu du liquide antiseptique et l'applique sur sa main. Il grimace. "Bon, euh… S'cuse pour ça, mec, j'ai eu… J'ai vu un moustique ou un truc… 'Fin, on s'en fiche. T'as besoin d'quoi pour corriger ça? Du papier? Un crayon? Tu veux t'asseoir à mon bureau?" Il tire une chaise enroulée de ruban jaune de police possédant des roues devant le meuble. Ce ruban, il l'a volé autour d'une scène de crime, un soir. Il a dû courir vite pour éviter les problèmes, mais il est bien content de son acquisition. Il se dit que la police doit avoir des rouleaux entiers de ça et qu'ils n'avaient qu'à en remettre. Un jour, Pak aura son propre appartement. Quand ce jour viendra, il planifie de dédier une pièce entière à ses trouvailles. Ce sera "Le Musée". Il aimerait bien en faire profiter Hamin. Quoiqu'il connaît déjà plusieurs de ses trésors: Pak les lui montre de temps à autre. Hamin. L'homme a un pincement au cœur en pensant qu'il va offrir les mots qu'il a couché sur le papier en son honneur à une fille qui ne l'intéresse pas vraiment. Il en est cependant ainsi. Il a fait ce choix et maintenant qu'il l'a montré à son camarade, il ne peut plus reculer. Il s'assoit sur le lit, afin de donner de l'espace à l'autre. Il va avoir besoin d'une bonne dose de marijane pour calmer ses nerfs. Il ouvre la petite table de nuit et y attrape un joint pré-roulé ainsi qu'un des nombreux briquets. Il fait flamber le papier et porte le filtre à ses lèvres avant de prendre une grande inspiration.

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COURS PRIVÉS

feat: @pak dave ; @chae seungkwan

Tu n'es pas certain de trop comprendre ce qui se passe dans cette chambre présentement, mais lorsqu'il te demande de jurer quelque chose, tu le fais sans même une once d'hésitation. Même si Pak Dave n'a jamais levé la main sur toi, comparé à certains autres de ses amis, il te fait peur. Ce serait mentir de supposer le contraire. Plus vieux que tous, musclé et avec un air de mauvais garçon, tu sais qu'il n'est pas une ampoule mais qu'une ampoule ça peut faire mal quand tu la brises. Tu décides donc d'avance de marcher sur du verre cassé avec lui, avant que la catastrophe ne se produise. On dit souvent que c'est ceux qui attendent qui sont les pires lorsqu'ils montrent leur vrai visage. C'est exactement pour cette raison que tu as pris peur lorsqu'il t'a emmené chez lui, mais aussi durant tout le trajet. Peut-on vraiment t'en blâmer? Avec tout ce qu'il a sorti de son tiroir mais aussi, avec la manière dont il t'a emmené dans cet endroit des plus insolites -autrement dit sa chambre-, tu n'es toujours pas rassuré. Le couteau est toujours une arme potentielle.

Devoir lire un texte écrit de ses mains ne fait pas partie des suppositions concernant la manière dont tu seras tué ce soir et c'est pourquoi tu restes un moment hébété avant de t'exécuter et lire les mots couchés sur papier. Tu restes encore plus surpris de ce que tu lis, te demandant de qui il est question dans son texte. Parle t-il réellement de Haneul? Tu ne saurais dire pourquoi, mais ça t'étonnerait. Qui aurait cru qu'il était capable de telles paroles? Habituellement, tu l'entends souvent prononcer des mots américains tels que ''chill'' ou bien "no homo". Voilà pourquoi tu le complimentes, au péril de ta vie. Parce que tu imagines que ça ne fait pas très cool ou chill d'écrire un beau texte."Euhm... ok?" Tu ne sais pas quoi répondre à sa demande de quelques instants. Va t-il aller chercher une scie pour te mutiler ou bien .... ou tu es à court d'idées voilà tout. Pak est encore plus un étrange spécimen que tu ne l'aurais soupçonné. Chose certaine, les substances illicites sont présentes dans sa chambre et tu les sent au grand désarroi de ton nez.

Tu le regardes quitter la chambre et tu regardes ensuite les murs de la pièce pour juger un peu les décorations abjectes s'y trouvant. Il n'y a pas à dire, lui et toi vivez vraiment dans un monde différent. Peut-être est-ce pour cette raison qu'il t'est aussi épeurant, voir plus que les autres membres du groupe par moments. Malgré que ce soit des brutes, tu les comprends. Du moins, tu comprends un peu comment ils fonctionnent. Lui, il est impossible à prévoir si ce n'est son style vestimentaire et son langage régulier. À tes yeux, il est comme un extraterrestre. Pas que tu vas lui en parler un jour par contre. Ton anxiété de mourir ne te le permettrait pas.

Tu n'as le temps de réfléchir à tout cela que quelques secondes avant d'entendre un énorme bang qui résonne jusque dans ta colonne. Ça y est, tu l'as fâché. Tes options? Peut-être sortir par la fenêtre, mais tu y resterais pris. Sans aucun doute, tu ne passerais pas.... Tu évalues les probabilités qu'il te croit si tu faisais le mort en l'entendant échanger des mots avec son père à travers la porte lorsque le futur meurtrier réapparait. Et si c'était aussi son père que tu avais fâché? Contre toute attente, à nouveau, l'objet de sa peur est plutôt calme devant lui et s'excuse même d'avoir frappé le mur du couloir. "Tu n'as pas à t'excuser tu es chez toi... et les moustiques c'est vraiment pas cool." Pourquoi tu utilises sont langage des cavernes tout à coup? Tu ne le sais pas. Pour apaiser la bête sûrement et faire comme si tu le croyais. En réalité, tu n'es pas assez con pour croire qu'il voulait tuer une mouche en frappant dans le mur. Quoi que....

"Un papier vierge si tu en as un ça ferait l'affaire, avec un crayon. Si ça ne te dérange pas. Si ça te dérange je peux trouver une autre manière d'écrire." Une autre manière? Bon d'accord, oui tu songes à t'ouvrir les veines sur place et écrire avec ton sang s'il le demande, mais tu n'es pas obligé de lui lancer l'idée tout cru dans le bec. Malgré qu'il ressemble plus à un gros ours qu'à un tyran, tu n'as pas confiance. "Et peut-être que..." Pourquoi est-ce que finalement tu laisses toutes tes chances de survie de côté? Aucune idée. Tu ne sais pas pourquoi tu prononces les prochains mots, mais sûrement que la curiosité tue le chat comme on dit. "Si je savais à qui sont destinés ces mots ça m'aiderait à mieux comprendre tes phrases?" Totale bullshit. Tu as juste à corriger des mots, pas expliquer ses tournures de phrases ou quoi que ce soit... mais ne pas tenter de savoir à qui il a écrit serait équivalent à mourir à petit feu. Au moins il pourra dire sur son lit de mort qu'il aura essayé de savoir.

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